Crypter ou ne pas crypter

Le cryptage de données permet de rendre totalement illisibles des informations qui doivent être transmises. Seul le destinataire, qui devra posséder la clé permettant le décryptage, pourra les rétablir sous leur forme d'origine. Sinon elles n’auront aucun sens. Ceci doit bien sûr permettre la communication d’informations devant rester confidentielles.

L’utilisation intensive du cryptage pourrait avoir des conséquences sur la façon d’organiser le travail dans l’industrie. Il est en effet assez malsain de ne pas se demander si des communications concernant par exemple des développements en cours peuvent être interceptés par un individu quelconque. Plutôt que d’être obligé de concentrer les ressources ou de risquer des déconvenues à cause de malentendus idiots (ex : la sonde de la NASA qui s’est écrasée sur Mars pour un problème d’unités de mesure), la sécurisation des transmissions pourrait être la solution qui faciliterait la vie à beaucoup de gens de ce point de vue. Cela permettrait entre autre de développer le télétravail dans certains domaines : pourquoi ne pas se déplacer seulement un jour sur deux s’il est possible de se connecter à n’importe quel moment sur l’ordinateur utilisé au bureau ?

Cependant, de telles options sont imprudentes sans un cryptage efficace. Il suffit d’avoir entendu parler des méthodes de la NSA (système Echelon) pour s’en rendre compte.

Connards et compagnie

Je considère comme des pauvres connards les gens qui portent des jugements sur d’autres simplement d’après des on-dit. Quand quelqu’un répète ce que lui a dit un autre qui l’a entendu d’un autre qui etc., on trouve surtout à l’arrivée un maximum de lieux communs. La correction la plus élémentaire voudrait que la personne critiquée puisse expliquer sa version mais c’est évidemment impossible quand on refuse d’aborder ouvertement le moindre problème. Maintenant que n’importe qui devrait savoir que l’on peut croiser de vrais malades à tous les coins de rues, la prudence devrait être de mise mais c’est rarement le cas.