Rectificatif
Après avoir commencé à minformer sur des phénomènes sociaux " non documentés " en 1993, je me suis rapidement orienté vers des recherches sur des mouvements comme le rosicrucianisme. Ceci parce que je métais aperçu quil y avait dans mon entourage immédiat un individu qui avait un comportement bien particulier et quil avait finalement prétendu avoir fait partie de lAMORC. De mon point de vue, ce type était un vrai taré et il sintéressait bien à des choses comme lalchimie ou lastrologie. Après de nombreuses péripéties, je me pose des questions en ce qui concerne les méthodes de manipulation de lentourage. Je ne peux pas dire que cest obligatoirement le but de ceux qui adhèrent à ce genre de groupements et je pense que des personnes suffisamment observatrices peuvent tout à fait se passer de " formation " si elles les pratiquent depuis un moment. Je crois quil ny a pas a priori de raison de plus (ou moins) se méfier des uns que des autres.
De toute manière les évènements ont montré que le problème ne se situe pas au niveau dindividus relativement peu nombreux mais plutôt quil venait de ceux que jai appelés les " peigne-culs ". Ceux là sont beaucoup plus sournois parce quils ne viendront jamais vous dire quoi que ce soit en face, quils agissent toujours derrière le dos de leurs " cibles ". Il sest avéré que le premier plouc venu peut simaginer être une terreur et avoir tous les droits. Comme on doit pratiquement considérer quils le pensent secrètement depuis toujours, on tombe des nues quand la situation se présente. Cest en fait là que le gros problème se situe, parce quils sy entendent pour saboter discrètement ce qui ne les arrange pas (on pourrait aussi bien traduire " tout ce qui ne leur rapporte rien "). Il faut bien dire quils sont tellement nombreux quils nont pas grand chose à faire individuellement. Et il ne faut pas se laisser tromper par lexpression " peigne-cul " : la situation occupée ne signifie rien. Ils peuvent être partout.
Christian Trévarin